2014/2015 a été l'année de la mise en place du nouveau programme Erasmus+ et par conséquent de nouvelles fonctionnalités et fonctionnements. L'implémentation ne s'est pas fait sans heurts, ni tâtonnements, tant du point de vue de notre institution, que de l'agence nationale. Nous naviguions à vue, sans possibilité d'anticipation ou d’aménagements, ce qui a généré de lourds retards dans le déroulement administratif des mobilités de nos étudiants : paiements des subventions, documents obligatoires, nouvelles réglementations du programme nous obligeant à revoir nos processus... Les mises en place de l'OLS courant du premier semestre et de la nouvelle version du Mobility Tool ont été autant de nouvelles charges à la masse de travail déjà conséquente, d'autant que les informations n'étaient pas données en temps et en heure et le bon fonctionnement pas assuré. Nous avons le sentiment que les nouveaux outils ont été lancés trop rapidement et sans réelle concertation avec les différents "stakeholders". Cependant, le nombre de mobilités réalisées a dépassé nos attentes. Les explications sont doubles : d'une part, nous avions sous-estimé les départs dans ce cadre au moment de l'appel ; d'autre part, nous avons commencé à comptabiliser les mobilités non subventionnée. L'amélioration notable est la tendance à la hausse des mobilités du personnel, depuis la prise en charge de ce volet par le service des relations internationales. Grâce à leurs efforts en terme de communication et de disponibilité, l'attrait et la connaissance de cette pratique prennent forme au sein de notre communauté administrative, scientifique et technique.